Swann Weavers ² - We're never alone
Lun 12 Mar - 22:07- Swann Weaverschronologiste
- Age : 28
Messages : 330
Date d'inscription : 11/03/2018
Crédits : Andrej Pejic /Andreja Pejic
Métier : Infirmier
état civil | |
Votre personnage en détailsAndrogyne il ne cherche pas à le démentir. Sauf quand son double s'en mêle. | |
Allégeance de votre personnage | |
Description de la mutationLorsque son double se manifeste, la nausée qu'avait ressenti Swann à l'époque n'est plus présente, de même que les migraines. Une sourdine se fait toujours entendre dans ses tympans, et il lui arrive parfois de trembler selon son état de nerfs. Lorsque Sis apparaît, ils agissent chacun indépendamment l'un de l'autre, et leur champ d'action est illimité. En revanche, pour ce qui est du domaine physique, ils ressentent tout ce que l'autre vit. Si l'un est balafré, l'autre le sera également, s'il est dans un état second, alors l'autre aussi. La durée est variable, mais n'a, jusqu'alors, jamais dépassée une journée. Lorsqu'elle se termine, tout devient alors très douloureux.Les souvenirs emmagasiné par Sis reviennent à Swann, et selon la durée du dédoublement, il peut en perdre connaissance jusqu'à avoir vu la totalité de ce qu'il s'est passé. |
Histoire de votre personnage10-02-2018 Swann & Je caresse rapidement l’animal, sourit tendrement avant de me redresser. Je lorgne un instant le tatouage au creux de mon bras, puis descends l’échelle de ma mezzanine. J’avance vers la cafetière, manque de me prendre les pieds dans Nouchka. Femelle de gouttière au pelage écaille de tortue, elle se frotte rapidement contre mes mollets avant de s’enfuir. Jack miaule. Le plus jeune de la fraterie et le plus collant. Son pelage est tigré gris, à l’instar de Leon et Aria - même si le sien tire davantage vers le blanc. J’appuie sur le bouton, attrape le chaton dans mes bras, le caresse. Il ronronne affectueusement, frotte sa tête contre ma joue, les pattes sur mes clavicules. Je pose une tasse sous le bec verseur, met une dosette, puis dépose le félin au sol après avoir embrassé le sommet de son crâne. l'électroménager résonne dans un bruit de marteau piqueur. Je plisse les yeux. Hier soir,j’ai abusé sur la boisson. Il est beau, grand, blond, les yeux bleus. Il s’appelle Drax et, hiérarchiquement, c’est mon supérieur. Il a la parole facile. Il est marié depuis ses vingt ans à une femme du nom de Linda, et ils ont une fille, a présent âgée de cinq ans. Il me fait craquer. Hier soir, on a décidé de faire une sortie entre collègues. J’ai bu pour me donner du courage, assez pour faire sauter les limites de mon inhibition, mais également assez pour garder le contrôle. Du moins, je le pensais. Alors que j’étais parvenu à le traîner hors du groupe de médecin et emmené jusqu'au toilettes, une sourdine familière m’a percé les tympans. L’instant d’après, mon autre moi était derrière le chirurgien, et le poussais violemment pour rejoindre la cuvette et aller vomir. Une chose en impliquant une autre, je me suis retrouvé a m’extirper des bras du bel aryien, rendant le contenu de mon estomac à ses pieds, à l’unisson avec mon double qui lui, était en meilleure conditions. Suite à cette succession d’événements étranges, il a prit ses jambes à son cou, ce que je ne peux que comprendre. Je pose rageusement la tasse fumante sur le plan de travail. Je déteste ce don, cette mutation. Je ne peux même pas en vouloir à une tiers personne puisqu’au final, nous sommes le même être. En puissance deux, aussi différents que semblables à la fois. Tout ce qui peux lui arriver physiquement m'arrive également. S'il boit, alors je serais en état d'ébriété, s'il se drogue, je suis défoncé, s'il est blessé, je saigne, s'il couche avec quelqu'un, j'ai un orgasme. Depuis hier soir, nous sommes séparés. J'ignore ce qu'il fait, où il se trouve. Suite à la soirée, nous avons décidé de partir chacun de notre côté, ce qui, en soit, était complètement débile. D'après une étude que j'avais lu il y a plusieurs mois, il est possible, pour les mutants possédant le don de projection astrale, de pouvoir retrouver le chemin jusqu'à celle-ci, ou de la ramener à soit si l'on se concentre bien. Mais mon double est tangible, réel. Lorsqu'il est présent, il est fait de chair et d'os, et je ne suis pas en veille pour autant. De plus, j'avoue que je n'ai aucune idée de la marche à suivre pour le ramener à moi. J'inspire profondément, mes membres commencent à trembler. Le goût de la nicotine se répand dans ma gorge, mes poumons me font souffrir. Putain. La cigarette à vraiment un goût ignoble. Ce sale petit con est en train de cloper. Je frémis, avale ma tasse de café rapidement. Je n'ai pas le temps de me préoccuper de ça ce matin, je vais être en retard au boulot. De plus, après la scène à laquelle à assister mon boss, je ne suis pas persuadé que le moment soit bien choisi pour être à la bourre. Mon cœur s'emballe, mes mains s'agitent brutalement. Merde, il va remettre ça. Comme une enclume prise en pleine face, une migraine éclate au centre de mon front, irradie jusque dans mes tempes. Mes tympans hurlent en sourdine, mon abdomen se tord. Mes jambes flageollent, mon corps se fait lourd, mes membres deviennent coton. Ma vision se trouble, s'assombrit, des points noir apparaissent devant mes yeux. Des sueurs froides dégoulinent le long de mon dos, sur mon front. Avant que je n'ai pu agir concrètement ou me préparer au choc, il vient à moi, et l'inconscience me percute de plein fouet, ma colonne vertébrale heurtant le sol. Drax est dos à moi, en train d'embrasser Swann. J'ai chaud, j'ai soif, j'ai mal au ventre. Ses mains me donnent des frissons de dégoût. Pourquoi est-ce qu'on est censé agir comme ça ? C'est dégueulasse. En plus, ce type est complètement écœurant. Il est marié, il est père, et il ne trouve rien de mieux que de sauter un de ses sous fifre ? Au moins, celui-ci n'est pas trop vieux. Mais bordel, j'ai vraiment pas envie d'assister ou de ressentir tout ça. Je pose la main sur la poignée, de la porte, mais mon abdomen se contracte. On a vraiment trop bu ce soir, faut que je gerbe, maintenant. Je fais un demi tour, pousse vivement les deux tourtereaux, et me laisse tomber au sol, les mains sur la cuvette, pour y rendre le contenu de mon estomac. Derrière moi, des bruits se font entendre. De l'agitation aussi. Swann geins, comme il sait si bien le faire. Il geins comme un petit oisillon tombé du niz, les autres ont tendance à trouver ça mignon, lui même trouve ça attendrissant, moi, je trouve ça ridicule et pathétique. Je me redresse, lui tends la main pour l'aider à se relever. Il me lance un regard noir, j'en fais de même. - T'étais vraiment obligé de te pointer ce soir ?! Je hausse les épaules, m'essuie la bouche d'un revers de bras. Faut que je me lave les dents. - C'est à toi de gérer mes apparitions, je ne suis que le produit de ta mutation je te rappelle. - Pour un produit de mutation, t'es un peu trop réel pour moi. Je lui fait un doigt d'honneur, avance vers le lavabo pour me rincer la bouche. Je ne suis qu'une part de nous-même refoulée. Il le sait tout autant que moi, au fond. Mais visiblement, c'est pas assez encré dans notre cervelle de piaf plaintif. - Je veux rentrer... Le voilà qui geins, encore. On a vraiment trop bu, mais son côté chien battu se voulant attendrissant pour dissimuler sa grosse tendance traînée dépourvue de conscience me donne envie de lui en coller une. Je le ferais, si je ne la ressentais pas derrière. - Fais comme tu veux, moi je me casse. - Sis attends... Je grince des dents, m'empare du col de son t-shirt trois fois trop large et le pousse contre le lavabo. La douleur grimpe dans mes lombaires, mais je serre la mâchoire pour l'ignorer. Je plante mes pupilles dans les iris noisettes de mon reflet. - Je t'ai déjà dit d'arrêter de m'appeler comme ça. C'est juste une des innombrables marques de l'irrespect qu'avait Sherry pour nous ! - Rho ça va... Il se dégage, avance vers le lavabo. On se rince la bouche au robinet dans le même mouvement, je soupire. J'aimerais vraiment, parfois, qu'on puisse être deux être différents. - Je me casse pour ce soir, démerde toi. - Sis... - C'est Swann putain ! Je claque la porte des toilettes derrière moi, passe à côté du groupe de médecin. En passant par le vestiaire, je récupère notre sweat, laisse la veste à l'autre. Je relève la capuche sur ma tête, m'extirpe de la boîte. Je supporte pas les boites de nuit putain. Je comprends pas comment on est censé s'amuser là dedans. Ça pue la sueur et le renfermé. Un groupe de type rit non loin de l'entrée, et avant même que je n'ai pu avancer, je sais qu'ils vont me faire chier. Ils viennent toujours. Je fais un nouveau pas, celui de trop. Je le savais. - Hey beauté ! Qu'est-ce que tu fais ici toute seule ? Génial. En plus, c'est des gros lourd. - Ta mère t'as pas apprit qu'il fallait pas te balader seule ? Une jolie fille comme toi c'est vraiment pas prudent. Faites qu'ils n'approchent pas. Je renfonce la capuche sur ma tête, glisse mes cheveux longs à l'intérieur pour les dissimuler. J'ai pas grand espoir que ça change quelque chose, mais sait on jamais. L'un d'eux glisse près de moi, son bras entoure mon épaule. Je suis pas bien grand, pas épais non plus. Je dois faire dans les cinquantes kilos tout mouillé avec trois sweat et des pompes lourdes. Je mesure cent soixante cinq centimètres. En bref, j'ai rien d'impressionnant. - Je suis un mec. Maintenant dégage ta sale main de moi où je te la fais bouffer. Le type s'écarte, me toise de la tête au pieds. - T'es pas un mec. Je soupire. Ah bah oui, effectivement maintenant qu'il me le dit, je me rends compte que je me suis planté toute ma vie. Autant pour moi, j'ai toujours pensé que c'était le cas. Quel pauvre con. - Au dernière nouvelles, si, mais bon, si je dois te montrer des preuve pour que tu me crois allons y. Ça se passe comment, je baisse mon froc et tu palpe la marchandise pour voir si tu estimes que c'est assez masculin pour toi ? Il blêmit, recule d'un pas. Swann aurait simplement rit en prenant une voix haut perchée et se serait barré poliment par peur de représailles. Il a beau être narcissique, la dignité c'est un vraiment un concept vague chez lui. - Non, je suis pas pédé. Comme si ça avait quelque chose à foutre là dedans. - Casse-toi pauvre con. Je le bouscule, avance dans la rue. L'air est froid ce soir. J'ignore combien de temps je déambule dans les rues, combien de temps je marche. J'avance sans direction précise, erre comme une âme en peine, la capuche sur la tête. Mes pas finissent par me guider jusqu'à une ruelle que je ne connais que trop bien. Là, un appartement se trouve. Au premier étage, mon ancien meilleur ami y vivait, Jesse. J'ignore s'il y vit toujours, mais je sais que son frère oui. Je sais que Jared vit toujours là parce qu'il nous arrive d'y passer très souvent et de lever la tête vers sa fenêtre. Il nous arrive trop souvent d'y lever la tête dans l'espoir de le voir apparaître et nous faire signe de monter. Ce soir, il regarde la télévision. Je le vois depuis la fenêtre. Il est assis dans son canapé, les iris rivées sur l'écran. Je ne peux pas en vouloir à Jared de nous avoir dégagé de sa vie. Swann lui à fait des crasses, des putain de crasses. Il le voulait, et lorsqu'il l'a eu, il a été incapable de se confronter à tout ces sentiments nouveaux pour lui. Il a prit peur et il a fuit, comme un lâche. Il ne s'est intéressé à lui que lorsqu'il lui a montré qu'il n'en avait plus rien à foutre de nous. Au fond, je pense qu'il a bien fait de s'éloigner, on est plutôt du genre nocif. Mais j'ai pas apprécié qu'il nous traite de monstre en apprenant qu'on était mutant. Le pire dans tout ça, c'est que des années plus tard, je pense qu'il est le seul qui ait fait chavirer notre cœur comme ça. Le seul dont on est tombé amoureux. Il avait vingt-sept ans quand nous nous sommes rencontrés, j'en avais à peine dix-sept. Mais on le voulait. On le voulait plus que tout au monde. On avait pas réalisé tout ce que ça impliquait. Je reprends ma route, trace mon chemin. Je marche pendant des heures, sans m'arrêter. L'aube se lève, pour nous le travail commence à sept heures. Peut-être que si je rentre, j'aurais plus de chance de fusionner à nouveau avec mon autre part. Malgré la nuit tumultueuse que nous avons eu, nous sommes tout à fait capables de nous lever aux aurores même avec un temps de sommeil très court. A quelques mètres de l'appartement, quelque chose attire mon attention. Un paquet de cigarette posé sur le rebord d'une fenêtre. Je m'en empare, l'ouvre aussitôt. Il reste trois cigarettes dedans. J'en coince une entre mes lèvres, attrape le briquet posé à côté. J'imagine que quelqu'un à dut l'oublier ici. J'inspire profondément, active la braise au bout. Swann à arrêté de fumer régulièrement depuis trois ans, il s'est reporté à la cigarette électronique. Pour ma part, j'adore le goût du tabac. Ma main commence à trembler, la clope tombe d'entre mes doigts. Putain, j'aurais vraiment aimé pouvoir la terminer. Like a Cow L'hôpital dans lequel je travaille depuis six mois vient d'annoncer une campagne de dépistage. Exactement comme pour des bœufs, nous avons tous été piqués. Au départ, j'ai pensé qu'il s'agissait d'un moyen de vérifier l'immunité des employés, au final, c'est une sorte de traque aux mutants. J'ignore ce que ça va réserver, mais pour être honnête, ça ne me plaît pas du tout. Je ne tiens pas à ce que mes collèges apprennent pour mon don, et encore moins pour Sis. A chaque fois qu'il a failli se présenter jusqu'à l'ors, j'ai tenté de le cacher comme je le pouvais. J'ai prétexté un besoin pressant, des papiers à aller chercher, afin d'être certain que personne ne nous voit au même endroit en même temps. La dernière fois, une des secrétaire de l'accueil s'en est aperçue, j'ai menti en disant que je possédais un frère jumeau et que ça l'éclatais de s'habiller comme moi. Je comprends pas comment elle a put avaler un bobard pareil enfin, je me disais que c'était pas mon problème. Jusqu'à maintenant. Je termine ma dernière perfusion, remonte les manche de la chemise en jean ajustée sous ma blouse, tente de ne pas décrocher la compresse qu'on y a accroché plus tôt. Je vais avoir les résultats du dépistage qu’on m’a fait en début de journée. Évidemment, c’est pas comme s’il s’agissait d’une grande nouvelle ou que je redoutais le résultat comme le HIV. Je suis parfaitement au courant de ma mutation, et, malgré le fait que je tente de la dissimuler au mieux, je doute assez sérieusement de pouvoir duper des tests, quand bien même ma volonté. Je pourrais plaider l’innocence et parler d'un faux positif. J'y ai vraiment songé pour être honnête. Mais je ne suis pas assez malin pour trafiquer des résultats, même s’il s’agit de mon métier. J’arrive à l’unité mise en place ce jour là, anxieux. Je suis trop jeune pour être embarqué de force puis parqué dans un camp. J'approche de la secrétaire, la gorge serrée. - Swann Weavers. La femme hoche la tête, me dit de patienter. J’inspire profondément, avance vers l’espace attente qu’elle m’a indiqué. Je comprends bien entendu la frayeur que les personnes possèdent face aux dons des mutants, mais je ne vois pas l’intérêt de faire tout ça. Qu’est ce que toute cette mise en scène implique ? Est ce qu’ils vont séparer les mutants du reste de la population ? Est-ce qu’on va se retrouver enfermé dans une sorte de prison pour mutant et obligé au travail forcé ? Est-ce qu’on va me virer, si oui, est-ce que je peux faire appel à un avocat pour licenciement abusif ? Une porte s’ouvre, une femme me fait signe d’entrer. Ses cheveux sont gris, retenus en chignon. Elle me fait penser à ces profs super sévères qu'on évitait au lycée. Je pénètre dans la pièce, m’assoit face au bureau. Je ne l’ai jamais vu avant aujourd'hui. Je ne suis même pas certain qu’elle fasse partie de l’hôpital. Elle prend place de l'autre coté, jette un œil à son portfolio. - Il doit y avoir une erreur, il est indiqué sur le dossier que vous êtes un homme. Je soupire bruyamment. Évidemment j’aurais dû m’y attendre. Je préférerais de loin la laisser dans son ignorance pour m’en tirer, mais je ne peux pas, pas cette fois. - Je suis un homme. Elle bug un instant, regarde le papier, puis m’observe a nouveau avant de poser les yeux sur mon thorax. L’ultime vérification. Effectivement, si elle s’attend a voir de la poitrine a cet endroit, elle sera vite déçue. Je me suis toujours dit que si j'avais véritablement été une fille, ce genre d'acte aurait été carrément déplacé. - Toutes mes excuses. Pouvez vous ôter la compresse que nous vous avons mit après le vaccin ? Je fronce les sourcils, m'execute. Avant que je n'ai pu m'attarder plus longtemps sur l'énorme plaque rouge qui y a prit place, elle s'empare de mon bras, le scrute minutieusement. Alors c'était donc ça, le test en réalité. En vérité, ce que je pensais être une simple piqure pour vérifier mes vaccination était un produit destiné à révéler ma mutation. Parfois je me dis que je suis vraiment trop naif. - Vos résultats révèlent des traces du gêne mutant. Vous le saviez ? Je mords ma joue depuis l’intérieur en ramenant mon bras contre moi. Je ne vais pas mentir, j’en suis parfaitement conscient. La peur me pousse à répondre vaguement. - J’avais un doute. - C’est par rapport votre androgynie, vous êtes capable d’intervertir votre genre ? Je hausse les sourcils. Pourquoi est-ce que ce serait forcément lié à ça ? J'admets que je suis loin d'être un homme viril débordant de testostérone, mais je suis assez à l'aise avec mon sexe de naissance. Enfin, je mentirais si je disais que le fait de ressembler à une nana ne m'a jamais été avantageux. - Non, non c’est pas ça… Je serre les doigts sur mon pantalon, pince les lèvres. Qu’est-ce que je suis cense dire, ou faire ? Mentir et lui dire que le résultat doit être faux ? - Vous voulez bien me faire une démonstration ? Mon cœur s’emballe. Si je ne lui montre pas, elle ne pourra pas savoir. Je peux dire ou inventer n'importe quoi, quelque chose de minime, qui ne semble pas menaçant. - Je ne le contrôle pas. C’est juste une sensation étrange parfois, comme si j’étais à deux endroits différents. Elle fronce les sourcils, commence a griffonner quelque chose sur son bloc note. Je tends le cou pour voir ce qu’elle y inscrit, mais elle se redresse sur sa chaise. - Quand ça se produit, à quel genre de manifestation avez vous affaire ? Vous entendez des voix, vous vous téléportez, vous avez le sentiment d’être omniscient ? Je vois un deuxième moi. Mais je ne peux pas lui dire ça, si je lui dis, qui sait ce qu’il va m’arriver. Est-ce qu’ils me sépareront de Sis, nous torturerons l’un - l’autre pour voir les effets qui en résultent comme Josef Mengel, le docteur nazi aux expériences douteuses de la seconde guerre mondiale ? - Je ne sais pas. - Comment ça vous ne savez pas ? Est-ce que c’est quelque chose de tangible ? - Je vous l’ai dit, j’avais un doute. - Donc, ce n’est pas tangible ? Je grince des dents, le stress imprègne chaque cellule de mon être. Ses questions m’énervent et me terrifient à la fois. Qu’est-ce qu’il va se passer pour ceux qui seront découvert positifs ? Serons nous parqués comme du bétail au service de l’humain ? J'ai l'impression d'être dans un horrible cauchemar. - Je ne sais pas, je ne comprends même pas ce que ça veut dire. Elle échappe un soupir, se penche sur le bureau, en m'observant depuis le vitrail de ses petites lunettes. - Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre. S’il s’agit d’une manifestation physique comme la régénération cellulaire, alors elle est tangible, si au contraire elle n’est pas concrete, comme la maitrise du temps par exemple, alors elle ne l’est pas. - Je ne sais toujours pas. Elle pousse un nouveau soupir, beaucoup plus bruyant cette fois, tape des doigts sur la table comme pour manifester son agacement. - Ce n’est quand meme pas compliqué à comprendre. Peut être que si vous aviez passé plus de temps à étudier plutôt qu’à fricoter avec vos aînés vous le sauriez. Mes paupières s'écarquillent. Comment elle peut savoir ça ? Ont ils mené une enquête sur le personnel de l'hôpital ? Si oui, depuis combien de temps sommes nous traqués ? - Nous avons des témoignage, monsieur Weavers. On parle d’une entité qui vous serait identique. - Qui a témoigné ?! La colère pulse en moi, mes tympans bourdonnent, mes poings sont serrés, mon palpitant tambourine dans ma poitrine. Alors ils ont été jusqu'à questionner auprès de mon entourage ? Qui a pu parler ? Un de mes collègue, un de mes amis, Jared ? - Par soucis de sécurité, je ne peux vous communiquer cette information, mais e pense que vous savez très bien qui a pu témoigner. Une mutation comme la vôtre, ça ne passe pas inaperçu. Mes doigts craquent, je ferme les yeux pour tenter de me calmer en expirant profondément puis les rouvrent. Je blêmis aussitôt, en découvrant la personne face à moi, le corps douloureux. Oh non non non non non. C’est vraiment, mais alors vraiment pas le bon moment. La femme croise les bras, me toise, l'air satisfaite. Un léger sourire prend place sur ses lèvres, et elle fini par reprendre. - Je vois que Swann Weavers deuxième du nom a enfin décidé de nous rejoindre, veuillez prendre le siège a côté de votre hôte, ce ne sera pas long. 16-08-2013 Ecchymoses C’est le frère de Jesse, je ne devrais pas. C’est son frère, je ne dois pas. Le frère de mon meilleur ami, je n’aurais pas dû. Mais il est tellement beau. Tellement charsimatique. Tellement déstabilisant. Ses iris vertes. Ses cheveux coloré en rouge à la racine ébène. Son air de bad boy je m’en foutiste. Ses bras si bien dessinés. Son côté racaille qui s’est repri en main. Je savais, lorsque j’ai traversé la rue pour lui demander de me donner une clope, à moi qui suit mineur, je savais que la suite ne serait pas annodine. Je savais que si je franchissais ce pas, cette barrière, alors les autres tomberaient. Parce que ma volonté est trop forte, trop intense pour être arrêtée. Je suis allé en boîte, là où il bossait pour ses extras. J’ai bu ce soir là, j’ai bu jusqu'à plus soif. Parce que je voulais trouver le courage de l’aborder. Mais j’ai fait bien plus. Bien pire. Je l’ai forcé a m’accepter. Je l’ai fait chanter sur la boisson qu’il m’avait donné pour obtenir tout ce que je désirais. On avait beau avoir plus de dix ans d’écart, je m’en foutais. Je le voulais lui, et c’était tout ce qui importait. Quand enfin il a céder, j’ai prit peur. J’étais terrorisé par cette relation, ces sentiments que je ne comprenais pas. Je ne voulais plus entendre parler de lui. Jusqu'à ce soir. Jusqu'à ce que je le vois ici, avec cette fille. Cette nana avec qui je l’ai croisé juste après soir où j’ai abusé de lui en gage de mauvaise foi. Mes doigts se serrent autour de mon verre. Le pub est blindé ce soir. La foule qui s’entasse autour du bar est ahurissante. Mais elle ne l’est pas assez pour me cacher l’hypnotique Jared. Je me lève, les dents serrées, la mâchoire crispée. J’approche de cette fille, mais j’hésite, à quelques centimètres d’elle. Dois-je m’en prendre à elle parce que Jared à jeté son dévolu sur elle plutôt que de me courir après ? Est-ce sa faute ? Non, bien sûr que non. Est ce que j’ai pour autant envie qu’elle souffre ? Putain que oui. Je veux qu’elle souffre, et que Jared me revienne. Je la bouscule, une sourdine grimpe dans mes tempes. Mes doigts accrochent sa chevelure, des éclats de voix se font entendre. Je les tirent violemment, agrippe la racine de ses cheveux en faisant mine de l’enlacer. Je murmure à son oreille : - Ne t’approches plus de Jared. Elle geint, mais avant qu'elle ne puisse répondre, une masse me rentre dedans. Je tombe sur le sol, le visage brûlant. Quelqu’un m’a foutu une droite ? Non, non, juste un type qui m’est tombé dessus pourtant… Oh non. - Va te faire foutre ! Je me redresse sur mes avants bras, observe la scène. Mon homologue est face a moi, dans la même posture, ses cheveux décoloré collant à son visage humide, l’arcade ensanglanté. Je pose les mains sur mon propre visage, mes doigts effleurent mon sourcil, puis je les écarte, les observent, teinté de liquide rubis. Qu’est ce qu’il, ou plutôt, qu’est ce que j’ai encore foutu ? Jared m’observe, puis tourne la tête vers Sis. Bien sûr qu’il ne sait pas. Évidemment que ça déroute. Je tente de me relever, la bouche entrouverte. Mes doigts aggrippent son bras, je tente de l'attirer vers moi, un sourire crispé aux lèvres, dû à ma gêne. Il se dégage vivement, me repousse. Il lâche : ne m’approches pas, t’es un putain de monstre. Les larmes me grimpent aux yeux aussitôt. Mon corps tremble fortement. Ma vision devient floue. Une silhouette approche de mon amour, ses doigts tapent son épaule. Son poing craque contre sa joue, les os du mien hurlent douloureusement. J’ai horriblement mal. Je suis en colère. Je suis triste. Je suis amusé. Je suis deconfit. - C’est toi le putain de monstre ! Un brouhaha se fait entendre. Je sens des coup dans mes côtes, mon ventre, mon abdomen. Mon cœur tressaute dans ma poitrine, je croise les prunelles de Jared. Ses sourcils sont froncés. Les echymoses prennent place sur mon corps, sans qu'aucun coup ne lui soit porté directement. Une poigne me hisse sur mes pieds, me tire. L'air froid du bar, le choc du sol contre mon thorax. Je me redresse, à quatre patte, avant d'être brutalement projeté contre le bitûme, à nouveau, mon menton erraflant le macadam, une douleur vive piquant ma paume. Le corps sur le mien glisse sur mon dos, se laisse tomber à mes cotés, les bras en croix, les pupilles rivées vers le ciel. Je gémis de douleur. Je vais devoir m'entraîner aux sutures sur moi-même. Avec un peu de chance, Sis n'aura pas réintègré sa place initiale. Ce sera toujours plus pratique que de le faire face au miroir. Des larmes roulent toujours sur mes pommettes, sur celles de mon reflet également. - Tu sais Swann, je suis pas persuadé qu'il t'ai traité de monstre à cause de nous. Vu ce que tu lui a fait... Je m'allonge à ses cotés, inspire l'air de la ville difficilement. - Ferme ta gueule Swann. New Life Killingworth. J'avais entendu parler de cette ville y'a un moment déjà, mais je ne pensais pas qu'un jour je finirais par y vivre. Pourtant, j'ai fini par le faire. Je ne pouvais plus rester chez mes parents. Je ne pouvais pas attendre la fin de mes études là-bas. Alors j'ai prétexté que je voulais devenir infirmier. J'ai sorti le premier job qui me passait par la tête quand ils me l'ont demandé. Je leur ai dit que la ville possédait tout un tas de ressources en la matière, et que me renseigner là dessus pourrait m'aider à combattre ma mutation, mon trouble, ma maladie. Puis me voilà ici, un studio tout frais payé dans le centre ville pour que je suive des études, loin de Cardiff, et surtout, loin d'eux. Ma mère à toujours eu le don de me materner comme si j'étais une petite chose fragile. En soit, ça pouvait être assez agréable, mais qu'elle traite mon ubiquité comme s'il s'agissait d'un cancer en phase terminale, ça, c'était autre chose. Mon père, eh bien... Il était davantage répugné par mon apparence efféminée que par ma mutation. Là encore, c'était un assez gros problème. « Tu serreras jamais de gonzesse si tu ressemble à une nana ! » qu'il m'a balancé un jour. Mais pauvre vieux, si tu savais. Je suis pédé jusqu'au bout des doigts, t'aurais dû te poser la question en voyant que tout ce que je ramène à la maison depuis seize ans c'est des mecs. Puis Sherry. N'en parlons même pas. Quoi qu'en fait si, parlons en. Ça me traite comme une erreur de la nature incapable, quand lui même n'es pas foutu de faire autre chose de sa vie que de fumer des joints et passer ses journées à ne rien faire. Je dépose la litière vide au sol, ainsi que la cage à chat dans laquelle se trouve Aria. Je l'ai trouvée il y a deux mois de ça, dans le jardin de la maison familiale. Elle était coincée sous les décombres près du cabanon dans lequel mon paternel range la tondeuse et les sécateurs. Encore toute jeune, elle ne miaulait quasiment pas. Blanche, tigré grise, aux yeux verts, elle est adorable. Je me suis occupé d'elle jour et nuit, je me suis même rapproché d'un vétérinaire pour avoir plus de renseignement sur la marche à suivre pour m'en occuper. Je l'ai gardé pendant un moment dans ma chambre avant de décider de l'emmener avec moi ici. Si je l'avais laissée là bas, ces abrutis auraient fini par la laisser crever de faim. Attrapant le journal récupéré au passage à mon arrivée dans l'immeuble, je l'ouvre complètement, le positionne au fond du bac en le dépliant. Ça fera l'affaire le temps que je trouve une supérette pour fournir à Aria une litière décente. Mes paupières se plissent, à l'instant où j'achève d’aplatir le papier encré dans la cuvette de plastique. Je penche la tête de côté, lit l'écriteau. « Existence des mutants revêlés : réelle menace ou véritable évolution ? » Je pince les lèvres, me redresse, puis avance vers la cage pour ouvrir la porte à mon animal de compagnie. Je suis un mutant, je le sais depuis des années à présent, bien que je n'en ai jamais rencontré d'autre, à ma connaissance. L'être humain est capable du pire lorsque quelque chose l'effraie. Le temps où l'on se terrait dans l'ombre est révolu, nous sommes maintenant montré en pleine lumière, dévoilés au grand jour. Les choses vont changer, et j'espère sincèrement qu'elles iront dans le bon sens. | |
Derrière l'écran |
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Lun 12 Mar - 22:13- H. Calixte Seymourhumain
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Coucou toi trop contente de voir que tu as franchi le pas bienvenue dans ta nouvelle maison, j'espère juste tellement que tu vas te plaire parmi nous, t'as pas idée
Si tu as la moindre question, n'hésite pas ! J'ai hâte d'en savoir plus sur ta petite mutante à la mutation si intéressant, boudu
Si tu as la moindre question, n'hésite pas ! J'ai hâte d'en savoir plus sur ta petite mutante à la mutation si intéressant, boudu
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Lun 12 Mar - 22:19- Swann Weaverschronologiste
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Ravi d'avoir franchi le pas aussi :3 Ce sera un petit mutant - oui c'est un modèle androgyne du coup j'avoue que je vais pas mal en jouer ._.
Le forum à l'air fort cool, je vais essayer de finir ma fiche au plus vite :3 Merci de l'accueil !
Le forum à l'air fort cool, je vais essayer de finir ma fiche au plus vite :3 Merci de l'accueil !
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Lun 12 Mar - 22:25- Louciane J. Howardnon tatoué
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Date d'inscription : 14/01/2018
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Métier : Det Sgt au sein du CID, il travail énormément sous couverture.
ASHOUUUUUUUUUUUUUNEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEET
Bref, ravis de voir que la corruption a fonctionné Je vois qu'il va être infirmier, donc tu sais à quoi t'attendre
Mais j'te retiens ! Ca se paiera
Je t'avais dit que t'en perturberais plus d'un Dommage pour toi @H. Calixte Seymour c'est pas une petite
Bref, ravis de voir que la corruption a fonctionné Je vois qu'il va être infirmier, donc tu sais à quoi t'attendre
Ah ouais, t'es comme ça toi Sache que Louciane n'aime peut être pas les chats, mais il préfère frapper des humains que des pauvre chatons innocents Je t'aurais plus menacé de kidnapper ton serpentSwann a écrit:Un gens qui se fait appeler Louciane, kidnappé et traîné de force sur le forum sous la menace de trucider mes chats, après de longue heures de torture pénible et douloureuse, j'ai fini par m'inscrire avec un couteau sous la gorge [Faux, seul le début est vrai]
Mais j'te retiens ! Ca se paiera
H. Calixte Seymour a écrit: J'ai hâte d'en savoir plus sur ta petite mutante à la mutation si intéressant, boudu
Je t'avais dit que t'en perturberais plus d'un Dommage pour toi @H. Calixte Seymour c'est pas une petite
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Lun 12 Mar - 23:23- Kaisa H. Howardhumaine
- Messages : 100
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Métier : Interne en médecine
Bonsoir ! Et bienvenue !
*donne du chocolat à daddy au passage*
Un infirmier en plus ! (Je viendrai chercher un lien !)
J'ai hâte d'en apprendre plus sur lui. Bon courage pour la suite de la fiche !
*donne du chocolat à daddy au passage*
Un infirmier en plus ! (Je viendrai chercher un lien !)
J'ai hâte d'en apprendre plus sur lui. Bon courage pour la suite de la fiche !
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Lun 12 Mar - 23:58- H. Calixte Seymourhumain
- Messages : 1386
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Métier : contrôleur de gestion des Laboratoires Asclepios ; altiste
Oups Ahah, faut pas me faire des coups comme ça, la fatigue, toussa, moi je ne marche pas, je cours bienvenue donc avec ton petit mutant
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Mar 13 Mar - 1:49- Swann Weaverschronologiste
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Métier : Infirmier
Merci beaucoup à tous :3 <3
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Mar 13 Mar - 11:15- InvitéInvité
J'aime beaucoup la mutation de ton petit Swann. Et il va pouvoir s'amuser, Hedwige sera la première à l'appeler Madame et à se confondre en excuse, en rougissement et en bégaiement quand elle comprendra son erreur.
En tout cas, bienvenue par ici
En tout cas, bienvenue par ici
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Mar 13 Mar - 12:35- Swann Weaverschronologiste
- Age : 28
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Métier : Infirmier
Merci beaucoup ! Oh oui avec plaisir ! On verra si elle à la chance de tomber sur swann seul ou sur swann² xD
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Mar 13 Mar - 19:55- Anakin Hawkcréateur
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Crédits : TAG
Métier : Propriétaire du bar le Cocktail Colors (centre ville)
Mais quel monstre ce Lou !!
Bienvenuuuuuuuuuue !!!
Dis à tes chats d'attaquer Lou dans son sommeil ! (a)
Bonne chance pour ta fiche
et si tu as des questions, n'hésite pas !
Bienvenuuuuuuuuuue !!!
Dis à tes chats d'attaquer Lou dans son sommeil ! (a)
Bonne chance pour ta fiche
et si tu as des questions, n'hésite pas !
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Mar 13 Mar - 20:59- Pandora A. O'Sullivannon tatouée
- Messages : 1062
Date d'inscription : 10/02/2018
Crédits : Skweecky
Métier : Violoncelliste / faussaire
Bienvenuuuuuue !
Je sens que ça va être drôle les "mad... heu monsieur ! "
J'ai hâte d'en savoir plus sur ce petit bonhomme et comme tu joues un mutant, c'est moi qui serai ta référente. N'hésite pas à me mpotter si tu as besoin de quoi que ce soit !
Je sens que ça va être drôle les "mad... heu monsieur ! "
J'ai hâte d'en savoir plus sur ce petit bonhomme et comme tu joues un mutant, c'est moi qui serai ta référente. N'hésite pas à me mpotter si tu as besoin de quoi que ce soit !
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Mer 14 Mar - 0:01- Swann Weaverschronologiste
- Age : 28
Messages : 330
Date d'inscription : 11/03/2018
Crédits : Andrej Pejic /Andreja Pejic
Métier : Infirmier
Merci à tous de votre accueil ! La bio arrivera très bientôt :3
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Jeu 15 Mar - 22:57- Rosamund A. Fraserhumaine
- Messages : 366
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Crédits : marley smith
Métier : Avocate au barreau
Alors. gros, GROS coup de coeur pour ton personnage, ton don est super, l'histoire de Swann est vraiment sympa, surtout parce que c'est quelqu'un qu'on apprécie autant qu'on déteste ! J'ai bien envie d'en savoir plus sur sa relation avec son grand frère ! Ça promet de super rps tout ça ! Va vite écrire ! Pour réellement t'amuser sur ItS, il te reste quelques (toutes petites, promis)
Si tu souhaites rapidement te trouver des partenaires de RPs, je te conseille de te diriger vers N'oublie pas de passer régulièrement du côté des Petit lien utile à garder dans tes favoris : Enfin... |
Re: Swann Weavers ² - We're never alone
Jeu 15 Mar - 23:03- Swann Weaverschronologiste
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Date d'inscription : 11/03/2018
Crédits : Andrej Pejic /Andreja Pejic
Métier : Infirmier
AAAAAAHHH SUPER JE SUIS TROP CONTENT - danse de la joie - Merci beaucoup beaucoup beaucoup <3 Je pense que je trouverais un petit endroit pour parler de Sherry quelque part
Je vais remplir tout ça alors :3
Je vais remplir tout ça alors :3
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