Maria Francesca Estevez | |
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jouée Nom : Estevez Prénoms : Maria, Francesca Âge : 30 ans Date & Lieu de naissance : 13 mai 1987 , Barcelone, Espagne. Classe sociale : moyenne Origines : catalanes Emploi : elle tient le bar El bar de la armada, avec son frère ; elle en est l’une des barmaids et des cuisinières Situation amoureuse : célibataire, bien qu'elle tourne autour d'un certain jeune homme Groupe : traqueuse Dépistage et Tatouage : dépistage négatif, non-tatouée ; elle aimerait vraiment arborer son lambda mais avec le reste du groupe de traqueurs, ils ont décidé de ne pas être tatoués, pour approcher plus facilement les mutants
Avatar : Emeraude Toubia, Marie Avgeropoulos, Lindsey Morgan Crédits avatar : Skweecky |
pile électrique Ξ impulsive Ξ curieuse Ξ naïve Ξ crédule, idéaliste Ξ dyslexique Ξ facilement déconcentrée Ξ chaotique Ξ franche et directe Ξ honnête Ξ dynamique Ξ hypocondriaque (comme son frère) Ξ ambitieuse Ξ
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Objectifs- Ξ élargir le groupe de traqueurs, lui donner une réelle substance et une réelle solidité
- Ξ punir tous les mutants ayant commis un crime avec leur mutation
- Ξ nettoyer Killingworth de toute trace mutante
- Ξ faire en sorte que la cuisine du bar soit classée d’un point de vue touristique
- Ξ embrasser Mark. Histoire de voir.
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Tell me your story01. Maria est la deuxième et dernière enfant des Estevez, née huit ans après son grand frère Alejandro 02. Enfant voulue, aimée, oui, mais rapidement devenue pénible aux yeux des Estevez qui réclament de sa part une autonomie et la confient assez vite à des nounous et à son grand-frère. 03. Leurs parents ont pour principe d’éducation de se mêler le moins possible de la scolarité de leur fille, mais d’en confier l’entière responsabilité à Alejandro. C’est lui qui lui apprend à lire, à compter, qui lui fait réviser ses conjugaisons et son vocabulaire ; si ça pousse l’aîné à exceller scolairement, Maria n’en est pas plus aidée et, déstabilisée comme son frère par sa dyslexie, elle patauge plus qu’autre chose et voit son frère être puni et réprimandé par sa faute 04. L’absence d’implication de ses parents la laisse avec un amer goût d’abandon, et lorsqu’elle manque d’échouer au bac, elle revendique ses rattrapages comme une rébellion, même si c’est son frère qui en subit les conséquences. Elle s’engage vers la cuisine, au grand désespoir des Estevez et sous le désintérêt complet d’Alejandro qui part de l’autre côté du pays, las lui aussi des reproches de ses parents 05. Les années qui suivent, Maria se retrouve forcée de côtoyer des parents déstabilisés par le départ brutal de leur fils aîné, qui se souviennent brutalement de son existence à elle ; heureuse d’avoir pour la première fois l’attention des parents Estevez, elle oscille avec une insatisfaction persistante et un manque 06. En 2013, une élève mutante tue accidentellement la quasi intégralité de l’établissement où travaillait Alejandro en tant que professeur de mathématiques. Maria est la première à aller voir Alejandro, la première à lui trouver un thérapeute. Son frère lui apporte une certaine stabilité et elle le pousse à partir à l’étranger, à s’éloigner de tout et des souvenirs du traumatisme ; Maria met sa vie à elle entre parenthèses sans la moindre hésitation 07. Dix-huit mois plus tard, le verdict tombe de l’acquittement de la responsable de la tuerie de Grenade, Maria s’engage définitivement dans la lutte contre les mutants et la revendication des droits humains, et des devoirs mutants. Devoir de contrôle, devoir de protection, devoir de distance. 08. Elle travaille dans plusieurs restaurants, essaye de suivre son frère en Angleterre où il a décidé de refaire sa vie, finit par le convaincre de s’installer avec elle à Killingworth, pour monter un bar et le pousser à se libérer définitivement des fantômes de ses élèves 09. Elle monte un groupe d’anti-mutants, pour faire justice eux-mêmes, n’ayant aucune confiance dans le Gouvernement et ses décisions pour gérer les mutants. Elle a réussi à convaincre trois autres personnes, ainsi que son frère 10. L'annonce de la mise en place de tatouages, sur la base du volontariat dans un premier temps, a suscité bon nombre de discussions et de disputes au sein du petit groupe de traqueurs et ils ont fini par se mettre d'accord sur le fait de ne pas se faire vacciner : il s'agit de ne pas donner de raison de les craindre aux mutants à qui ils vont rendre visite |
LiensAlejandro S. Estevez : son grand-frère. Il a toujours eu une extrême importance dans la vie de Maria, bien plus présent que ses parents, bien plus attentif, exigeant, omniprésent. Leur relation s’est dégradée, surtout quand Alejandro a commencé à vraiment subir les reproches de leurs parents à chaque échec de Maria. Son grand frère était très froid, très acide, très sévère ; lorsqu’elle a manqué de louper son bac, il a déménagé à Grenade et elle s’est sentie abandonnée. Elle lui en a énormément voulu, mais il a également commencé à lui manquer : elle a sauté dans le train pour le rejoindre à Grenade dès qu’il a eu besoin d’elle. Alejandro s’appuie sur Maria, mais Maria a aussi besoin d’Alejandro : c’est son équilibre, c’est son point de repère. Elle est persuadée que traquer et aller jusqu’à tuer des mutants lui fera du bien et lui permettra d’exorciser les fantômes de ses anciens élèves.
Mark Grimwood : Maria a rencontré les cousins Grimwood pendant une soirée en ville, ils ont de suite sympathisés ; de fil en aiguille, le bar des Estevez est devenu leur point de rendez-vous, et les Grimwood les plus proches amis des deux Estevez. Mais plus les choses vont, plus Maria se rend compte qu’elle regarde, ou cherche à regarder, les deux Grimwood d’un nouvel oeil, surtout Mark.
Emilia C. Badano : un des avantages de posséder un bar, c’est qu’un peu d’alcool ou de routine rend les confidences florissantes et c’est ainsi que Maria a entendu parler d’Emilia pour la première fois. Un contact dans la police, un contact au DCRM, quelques mots par ci, quelques illusions par là… et, surtout l’attention retenue de la jeune Estevez. Si Maria a présenté le cas Badano au reste des traqueurs, elle le regrette désormais quand elle voit à quel point Alejandro est fasciné - pour ne pas dire obsédé - par Emilia et son histoire. Jalouse, possessive, Maria cherche à son tour des infos sur Emilia, mais plus pour trouver un prétexte pour finalement l’évincer des recrues possibles. |
Allégeance et opinionsAllégeance : Maria a vendu son corps, son âme, sa vie à la Cause, à cette cause qu’elle a embrassé dès qu’elle a vu le regard vide et traumatisé de son grand frère au lendemain du carnage de Grenade.
Mutants : les mutants sont des plaies, les mutants sont des grenades dégoupillées jetées au milieu de la population, les mutants sont des armes hors de contrôle qui devraient, vraiment, posséder un permis de vie avant d’avoir le droit de se promener dans la rue. Empathique, Maria s’est emparée du traumatisme de son frère pour le faire sien, et elle est la plus virulente des Estevez : les mutants ne sont pas souhaitables et si les autorités ne se chargent pas rapidement de les séparer des humains, elle s’en chargera elle même.
Traqueurs : bien sûr qu’elle les soutient, vu qu’elle se revendique traqueuse, qu’elle se revendique lutteuse pour le droit des humains et la régularisation mutante. Elle ne jugera jamais un traqueur meurtrier, aura bien plus de doutes face à un traqueur politicien. Maria respecte, vraiment, ceux qui agissent.
Humains : tout comme son frère, elle considère les humains comme les victimes de toute cette affaire, elle revendique haut et fort son humanité, s’agace de cette décision prise de ne pas être tatouée. Maria est convaincue qu’il faut tout faire pour valoriser l’humanité et ne surtout pas mettre sur un piédestal les mutants.
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