Colomba ~ Trust no one, even yourself
Mar 16 Jan - 19:25- InvitéInvité
état civil | |
Votre personnage en détailsElle avait un grand frère du nom de Gabriel, dont elle était très proche. Elle va fleurir sa tombe au moins une fois par mois, et en profite pour lui faire un brin de causette, elle trouve ca réconfortant. | |
Allégeance de votre personnage | |
Implication chez les traqueurs |
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Mar 16 Jan - 19:25- InvitéInvité
Histoire de votre personnageThe sweet summer child « Yo Gab', ramène la mioche et on y va ! ». Gabriel referme sa main au tour de celle de la petite fille, vérifiant que son bonnet un peu pourri lui couvre bien les oreilles alors qu'il réajuste lui-même sa casquette. Elle se débat un peu, renacle, ronchonne, feignant de pas se laisser faire malgré le large sourire qui lui barre le visage. -Ca vaaaaaa, t'es pas obligé de me tenir la main, je suis plus un bébé depuis super longtemps ! La voix fluette contredit l'affirmation et Gabriel ricane. Sa petite sœur a fêté il y a peu de temps ses dix ans, la barre fatidique des deux chiffres et pourtant il a l'impression qu'elle sort encore tout juste des langes. Il ne voit pas les traits qui changent progressivement, les membres qui se délient, s'affinent, refuse d'imaginer que dans quelques années seulement elle basculera du coté obscur de la puberté. Non, pour l'instant, il ne voyait que les joues rebondies, l'appareil dentaire rutilant qui déformait un peu la forme de ses lèvres pleines, et la queue de cheval à l'élastique à pois qu'il lui avait aidé à faire à la va vite plus tôt le matin. Il n'y avait pas école aujourd'hui mais sa mère était au travail, aussi c'était à Gabriel de s'occuper de sa cadette jusqu'à ce que cette dernière rentre. Ce n'était pas vraiment une difficulté pour l'adolescent qui avait pris l'habitude de trainer sa frangine partout où il allait. Il avait poussé le vice jusqu'à l'intégrer dans sa bande de copains, un petit groupe de garçons un peu stupides, pas vraiment fréquentable, mais qui vivaient tous dans le même quartier. Et surtout, unis comme les doigts de la main, et qui se comportaient à présent comme autant de grands frères pour la petite Colomba. Il avait pensé à la suite, bien sur, quand elle serait plus vieille, plus jolie, mais ce n'était pas pour tout de suite, et, pour être honnête, il espérait bien qu'ils se seraient tirer de ce quartier pourri avant que la puberté ne frappe sa cadette. Shhhh, t'es encore qu'une sale môme, et la dernière fois t'as traversé la rue comme une sauvageonne, alors désolé pour toi mais aujourd'hui, tu me laches pas jusqu'à ce qu'on soit au parc. La petite brune avait fait la moue, mais n'avait rien répliqué. Elle se contenta de suivre son frangin dans tout l'appartement pour récupérer de quoi tenir toute la journée : des briques de jus de fruit, des biscuits au chocolat, une boite de chewing gum, et de signer sur le petit mot qu'il laissa à l'intention de leur génitrice, pour le cas où elle rentrerai avant eux. Cela arrivait de temps en temps, et si il n'y avait pas de mot pour lui indiquer où ils étaient, Gabriel en entendait parler pendant des jours par la suite. La porte de l'appartement se referma derrière eux, et les Porter dévalèrent la volée d'escalier qui les séparaient de l'extérieur, d'une journée entière de liberté, de jeux et de conneries. Le fond de l'air était froid, piquant et odorant aussi, mais cela ne les gênait pas. On s'habituait à tout quand c'était accompagné des copains et d'une bonne dose d'insouciance. Colomba avait remonté un peu son écharpe autour de son cou et de son menton alors que Gabriel saluait d'un check compliqué les membres du petit gang qui les attendait en bas de la barre d'immeuble grise. Pas fréquentable, c'était ce que leur mère disait régulièrement, mais Colomba ne voyait pas pourquoi, et Gabriel s'en foutait. Ces types n'étaient qu'une bande de gentils guignols, plutôt inoffensifs et plutôt utiles quand il avait besoin de partenaires de crime. Colomba ne voit pas le comportement parfois étrange de son frère, son regard un peu froid, perçant, la raideur de ses mouvements, les expressions un peu effrayées ou inquiètes des gars quand il est autour. Ils sont fiers bien sur, fiers de fréquenter un type comme Gabriel Porter, qui ne semble avoir peur de rien, avec une chance insolente et une intelligence qui leur manquait parfois. Et quand sa petite sœur était dans les parages, il se comportait toujours bien, il était calme, souriant, bref, il était normal quoi. Tous savaient que ce n'était pas toujours le cas ... The mad hatter Gabriel s'observe dans la glace. Il se penche un peu au dessus du lavabo, plisse le nez, détaille sa mâchoire carrée, à la recherche du moindre poil rebelle. Il déteste les poils, il trouve ça sale. Il se rase l'intégralité du corps, des pieds jusqu'à la tête, son crâne nu luisant sous la lumière du néon de la salle de bain. La recherche est vaine alors il sourit, satisfait. Il attrape son after shave pour s'en asperger. Aujourd'hui est un grand jour, il va annoncer une grande nouvelle à sa petite amie, à sa sœur, quelque chose qui va changer leurs vies à tous, il en est persuadé. Cela fait des mois, des années qui galèrent et à présent, il touchait son rêve des doigts. Il se sourit, découvrant de larges dents blanches, avant de finir de se préparer sous l'oeil sévère de l'horloge du salon. Gabriel ne supportait pas le retard, cela frisait l'obsession. Dans la rue, Gabriel dépasse une bonne partie des passants d'une demi tête, tant et si bien que l'on le voyait venir de loin. Pourtant, il n'hésitait pas une seconde à s'écarter pour éviter de se confronter à la personne en face de lui : il ne supportait pas qu'on le touche, globalement, et encore moins qu'un inconnu pose la main sur lui. Il avait toujours eu du mal avec le contact, en dehors de sa mère et de Colomba. Depuis peu, sa nouvelle petite amie arrivait à l'effleurer, mais elle avait réussi à l'apprivoiser patiemment, sans toutefois parvenir à le sentir tout à fait à l'aise. Et pourtant, elle ne lachait pas prise : c'est qu'il était fascinant, Gabriel, avec ses yeux immenses qui lui bouffaient la moitié du visage, ses iris si noires que l'on y distinguait pas la pupille, leur donnant une profondeur vertigineuse. Et puis il y avait sa voix chaude, ses grandes mains, cette force tranquille... Le magnétisme de Gabriel faisait effet sur chacun, sur elle plus que sur d'autres. D'ailleurs, quand elle l'avait recontré, la jeune femme s'était étonnée de le savoir célibataire de longue date. Elle avait compris par la suite, bien sur, mais trop tard : elle était bien trop entichée de l'aïné des Porter pour pouvoir couper les ponts. Quand la situation devenait trop extrêmes, elle appelait Colomba, la cadette. Colomba savait toujours quoi dire, quoi faire. C'était surement pour ça qu'elle avait choisi un métier aussi délicat. La sonnette de l'entrée du restaurant tinta quand Gabriel passa la porte, et il adressa un salut poli au serveur qui ne lui accorda qu'un regard désintéressé. Gabriel était un habitué, un type bizarre, mais pas méchant. Juste bizarre. Le Porter se mit à l'aise, coté banquette, et se mit à pianoter sur son téléphone. Ce dernier se mit à bipper alors qu'un sigle de réveil matin apparaissait sur l'écran : le rappel pour ses médicaments quotidiens. Il claqua la langue, agacé, puis désactiva le message. Les médocs, c'était pour les gens malades. Lui, il ne l'était pas. Pas vraiment. Il était plus que cela. En retard, Colomba était en retard. Son frangin allait la tuer, et Bénédicte aussi, parce qu'elle aurait eu à subir les ronchonnements et les plaintes du sus nommé pendant plus d'une demi heure. A vrai dire, ce n'était pas sa faute, promis, juré, elle avait été retenue par un coup de fil important, un gamin qu'elle avait dans son portefeuille de protégés, à qui elle avait évite de faire une grosse, grosse bétise. Quand elle le leur raconterai, Gab' et Béné lui pardonneraient, elle en était convaincue. Aussi, elle avançait d'un pas tranquille en direction du restaurant, leur repère depuis quelques années, un petit bistro un peu ethnique qui ne payait pas de mine mais faisait des naans absolument fabuleux. Le nez sur son téléphone, elle ne remarqua pas tout de suite les gyrophares, ni l'attroupement qui se formait de l'autre coté de la rue. C'est la sirène du camion de pompier qui lui fit lever le nez de ses textos, avant que ses yeux ne s'écarquillent jusqu'à menacer de tomber du rebord de leurs orbites : des flammes, hautes de plusieurs mètres, léchaient les murs et la façade du restaurant. Autour du brasier les soldats du feu s'activaient, hurlaient leurs ordres aux ambulanciers qui couraient autour de la scène désolée comme une nuée de papillons blancs affolés. Colomba avait dégluti, et, tremblante, composé le numero de téléphone de son frère, puis de sa petite amie. Elle écouta les tonalités jusqu'au déclenchement du répondeur un fois. Deux. Gabriel ne lui répondit jamais. The defender Colomba plie et déplie le coude comme un vérin silencieux, découvrant une lettre grecque en pleins et déliés délicats, noire, luisante. Le tatoueur lui indiqua la marche à suivre pour prendre soin du graphème à un endroit aussi sensible. Elle hocha distraitement la tête, paya son dû et s'éclipsa sans un mot. Elle avait demandé au médecin de faire un second test, quand le premier était revenu négatif : après la piqure, elle n'avait eu aucune réaction, pas la moindre rougeur, pas le moindre picotement, nada, niet. Elle ne l'avait pas cru, tout simplement. Et puis, patient, le médecin lui avait expliqué : les membres d'une même famille n'étaient pas identique quand il s'agissant d'ADN, après tout, il y avait bien des enfants avec des yeux bleus ou verts dans une même fratrie. Pour la mutation, c'était pareil. Chacun était différent. Et c'était tant mieux. Au sortir du salon de tatouage, elle passa à la supérette acheter un pack de bières et des pensées en pot : ce n'était pas la fleur la plus jolie, mais elle savait que Gabriel les aimait bien. Elle avait roulé une dizaine de kilomètres pour s'éloigner du centre ville, l'auto radio éteint, avec pour seul fond musical le claquement des bulles de son chewing gum. Elle s'était arrêtée devant les grilles d'un cimetière modeste, couverte d'un gazon encore vert grace aux bons soins de l'agent municipal qui en avait la charge. D'un pas un peu lourd, elle s'était rendue au fond, devant une tombe simple, bien qu'entretenue. Un nom, une date, une photographie. Pas d'épitaphe, ça coutait cher et aucun bon mot n'avait émergé de l'esprit de Colomba ou de celui de sa mère, à l'époque. C'était Gabriel, le roi de la punchline.Yo frangin, ça fait un bail... Je serai bien venue plus tôt, mais il a plus deux semaines sans discontinuer, j'avoue que la motivation m'a manqué. Tu m'en veux pas, hein ? Elle s'accroupit pour s'assoir sur le rebord de la tombe, la pierre froide et lisse lui tirant un frisson alors qu'elle décapsulait une bière. Elle n'aimait pas vraiment ça, mais c'était un rituel. C'etait lui, après tout, qui lui avait fait gouté sa première gorgée d'alcool, une bibine de l'exacte même marque que celle qu'elle tenait dans la main. Elle en siffla une gorgée, grimaça, et reprit : C'est un sacré beau bazar en ce moment, tu le sais ça ? Les gens comme toi se mettent à fleurir, comme des paquerettes aux premiers rayons du soleil de mars. A croire qu'une personne sur deux se réveille avec des capacités débiles, aujourd'hui... Mais ne t'inquiète pas, moi ça va. Enfin, ça va, je suis pas touchée par ça en tout cas. C'est toujours ça de pris. Nouvelle gorgée, nouveau soupir. Elle salua d'un geste de la main une vieille dame à chapeau ridicule qui venait saluer son mari régulièrement. Les deux timbrées du cimetière de Sunderland. Elle la laissa s'éloigner, puis se remit à parler : J'ai vu Bénédicte dans la semaine, elle est enceinte jusqu'aux yeux, elle est belle à voir. Elle m'a reconnu aussi je crois, mais elle était avec son nouveau mec, je suppose qu'elle avait pas le courage de lui expliquer que j'étais la sœur du mec qui lui avait fait perdre une jambe parce que c'était un putain de mutant bipolaire... ça se comprend, hein ? Elle secoua la tête, termina la canette. Elle lui en avait fait, des reproches, pendant des mois après l'accident. De ne pas lui avoir dit pour sa maladie, pour ce traitement qu'il ne prenait que lorsqu'il en avait envie, pour ses sautes d'humeur de plus en plus fréquents, pour cette fichue mutation dont il perdait le contrôle dans ses accès de colère ou de détresse. Ça, pour faire le beau devant les copains ou les gonzesses avec, il était fort, un véritable animal de cirque, ils étaient époustouflants ses tours de passe passe.... Sauf que ce jour là, il avait laissé s'échapper la braise de trop. Une dizaine de morts, une vingtaine de blessés, un immeuble réduit en cendre. Elle aurait pu faire partie des dommages collatéraux, si elle avait été plus ponctuelle, tout ça parce qu'elle avait un frangin taré. Tout le monde le savait, qu'il était fou, Gabriel, une gueule d'ange déchu aux pouvoirs démoniaques, et pourtant elle l'avait aimé envers et contre tout, jusqu'à ce jour là. Ce jour où il avait foiré, ou il était mort et avait entrainé des innocents avec lui. Quel con. Et puis la rancoeur était partie, lessivée par les jours qui passaient et la vie qui avait reprit son cours, mais les séquelles étaient toujours là, comme la jambe manquante de Bénédicte. Colomba fixa le portrait de son frère encore un moment sans rien dire, comme attendant une réponse en défense de la part du défun. A moins qu'elle soit en train de l'imaginer dans sa tête. Les minutes passèrent, silencieuses, humides, avant qu'elle ne se décide à se redresser sur ses jambes, frottant ses fesses mouillées avec ses mains. - Bon, c'est pas tout, mais je vais pas rester ici à vieillir sans rien faire. Tu me manques, tu sais ? Je suis sure que tu sais. On a grave merdé, avec ton cas, hein ? Mais je ferais pas cette erreur une seconde fois, je t'en fais la promesse... Je sais bien que t'aurais préféré qu'on t'arrête avant qu'il soit trop tard. Ce ne sera plus jamais trop tard. C'est juré. | |
Derrière l'écran |
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Mar 16 Jan - 19:57- Edward T. Seymourhumain*
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Métier : Avocat
MALOOOOU !!! toi z'ici c'est trop bien je suis amour, joie et licornes ! bienvenue parmi nous avec ce très chouette personnage et bon courage pour ta fiche ! si tu as des questions, n'hésite pas !
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Mar 16 Jan - 20:22- Rosamund A. Fraserhumaine
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Métier : Avocate au barreau
Bienvenue parmi nous Colomba ! Déjà j'aime ton pseudo parce que j'ai designé une police d'écriture que j'ai baptisé Colomba et du coup j'adore ce prénom et du coup je raconte ma vue et du coup je vais me pendre.
BREF ! Je suis donc tafabuleuse référente, je te suivrais jusqu'à la validation de ta fiche et je me tiens à ta disposition pour toute question ! Bonne route sur ItS
BREF ! Je suis donc ta
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Mar 16 Jan - 20:25- H. Calixte Seymourhumain
- Messages : 1386
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Crédits : (avatar) sølune.
Métier : contrôleur de gestion des Laboratoires Asclepios ; altiste
TOI ICIIIIII loukoum sur mon âme, paillettes sur mon coeur Ca fait tellement plaisir de se dire qu'on va re-RP ensemble, #Nahiiiiiii
En tout cas, j'adore déjà tout ce que tu as écrit ça envoie du lourd !
En tout cas, j'adore déjà tout ce que tu as écrit ça envoie du lourd !
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Mer 17 Jan - 20:27- Rosamund A. Fraserhumaine
- Messages : 366
Date d'inscription : 11/11/2017
Crédits : marley smith
Métier : Avocate au barreau
J'ai beaucoup apprécié ta fiche et j'ai bien aimé comment tu construis ton personnage moins en la décrivant qu'en utilisant son frère Gabriel. On sent que son fantôme plane toujours sur Colomba et c'est super cool ! Deux petits points cependant, dans un premier temps attention, il y a quelques fautes de français assez grosses dans ton histoire mais comme elles sont très peu nombreuses je pense que c'est surtout par fatigue ou un manque de temps pour te relire. Quoi qu'il en soit pas de panique, si tu veux que je t'aide à les repérer tu peux me PM à tout moment ! Deuxièmement, j'avoue que j'ai beaucoup aimé ton style d'écriture et je suis resté un peu sur ma faim, parce que j'aurais bien aimé avoir un passage de ton histoire qui raconte comment Colomba a géré son deuil juste après la mort de son frère, comment elle a fait pour continuer sans lui... Et j'aurais aussi bien voulu un passage où tu racontes une mission de ton personnage en tant que traqueuse, pour qu'on se fasse une idée plus précise de son mode opératoire ! En tout cas, malgré ces deux petits points, je tiens à te féliciter pour la qualité de ton écrit et te décerner une médaille spéciale parce que tu es LA PREMIÈRE FICHE VALIDÉE SUR ITS Au plaisir de te voir en jeu ! Pour réellement t'amuser sur ItS, il te reste quelques (toutes petites, promis)
Si tu souhaites rapidement te trouver des partenaires de RPs, je te conseille de te diriger vers N'oublie pas de passer régulièrement du côté des Petit lien utile à garder dans tes favoris : Enfin... |
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Jeu 18 Jan - 7:33- InvitéInvité
Merci pour ce débrieff, ça fait plaisir de voir que tu as lu ma fiche avec attention et pris le temps de faire un retour . Pour ce qui est des fautes, je le confesse sans hésiter, j'ai écrit mon histoire en deux heures top chrono en sachant pertinemment que je n'aurai pas l'occasion de m'y remettre dans la semaine, alors j'ai pas pris le temps de relire ... Ce sera fait les prochaines fois
S'agissant de l'histoire ... C'est fait exprès . Je me suis servie de cette partie pour faire comprendre l'importance de Gabriel dans la vie de sa soeur, mais pour le reste, il faudra attendre les rp pour que vous en sachiez plus, mwéhéhé
S'agissant de l'histoire ... C'est fait exprès . Je me suis servie de cette partie pour faire comprendre l'importance de Gabriel dans la vie de sa soeur, mais pour le reste, il faudra attendre les rp pour que vous en sachiez plus, mwéhéhé
Re: Colomba ~ Trust no one, even yourself
Jeu 18 Jan - 9:26- Rosamund A. Fraserhumaine
- Messages : 366
Date d'inscription : 11/11/2017
Crédits : marley smith
Métier : Avocate au barreau
Ahaha je me doutais que tu allais développer sans doute cet aspect en rp (j'ai tendance à faire pareil huhuhu) DU COUP J'AI TROP HAAAATE DE LIIIIRE **
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