Le dépistage
Sam 13 Jan - 17:17- Inking the SoulsAdmin
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Date d'inscription : 24/09/2017
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Dépister les mutants, dans le but de prévenir l’apparition de mutation voire de les supprimer est l’un des principaux objectifs des Veilleurs, et ce depuis le tout début. Avec l’avancée des découverte en génétique, le séquençage de l’ADN, et même la découverte des multiples ARN et de tout ce qui a trait à ce qui fait d’un être humain un être unique, les laboratoires Asclepios et les multiples chercheurs qu’ils ont formé, mis en avant et sponsorisés ont réussi à proposer une solution de confiance pour, dans un premier temps, détecter l’existence d’une mutation pouvant être réveillée chez un être humain. La solution trouvée par les laboratoires ? Un virus, injecté chez la personne, réagissant aux marqueurs présents sur tous gènes mutants. Plus la réaction est forte, plus l’ADN de la personne compte de gènes impliquant des mutations. Le spectre de réaction n’est pas discret, et c’est la première cause, jusque-là, de faux positifs au sein de la population. Pour limiter ça, des analyses de sang sont faites une semaine après l’inoculation du virus dans le cas des réactions pouvant porter à confusion. Ces analyses ont pour but d’observer la réponse immunitaire de la personne : à partir d’un certain seuil, qui s’affine à chaque mutant dépisté, la personne est décrété humaine ou mutante. Cependant, dans 90 % des cas, le dépistage n’est sujet à aucun doute : réaction marquée ou absence de réaction, la plupart des personnes connaissent le résultat du dépistage avant même d’avoir le verdict. |
La procédure du dépistage se fait en trois étapes : dans un premier temps, le lendemain de ses quinze ans ou sur convocation dans le cas des résidents étrangers, il faut se présenter à l’antenne du DCRM la plus proche ou l’annexe de dépistage de sa ville pour Le jour du rendez-vous, le second temps, un membre du personnel hospitalier ou du DCRM injecte dans le bras le vaccin, et entoure la zone pour qu’elle soit bien repérable. Les premières réactions cutanées apparaissent au bout de deux heures. Une fois ce délai passé, il faut revenir au DCRM pour faire valider le résultat. La personne dépistée reçoit une Dans 70 % des cas, le résultat du dépistage est sans appel : réaction cutanée marquée et importante, pouvant aller jusqu’à provoquer une forte fièvre, la personne est mutante. Absence de réaction ou juste une légère rougeur ? La personne est purement humaine. En revanche, lorsqu’il y a des gènes mutants dans la famille, la réaction peut être plus soutenue et provoquer de faux positifs. S’il y a le moindre doute, la personne qui a procédé au dépistage a le devoir de réclamer une analyse de sang. C’est la troisième étape. Elle a lieu dans la semaine qui suit le dépistage et doit se faire obligatoirement dans l’antenne du DCRM la plus proche. Elle a pour but de contrôler le nombre d’anticorps présents dans l’organisme et peut même aller jusqu’à un séquençage ADN dans de Une fois le dépistage fait, la personne est invitée à aller se faire tatouer. Si elle est mutante et qu’elle connait sa mutation, elle est également invitée à la révéler. Ce n’est en revanche aucun cas une obligation |
L’inoculation du virus est un point sensible du dépistage. Il peut provoquer des réactions secondaires encore inconnues et agresse réellement le système immunitaire de la personne. Ainsi, les De même, sur
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La méthode de dépistage fonctionne parfaitement dans 90 % des cas, mais il reste bel et bien 10 % qui peuvent être sujets à des erreurs de dépistage. Ainsi, dans le jeu, votre personnage peut être concerné par ces erreurs. Attention toutefois, il faut tenir compte de quelques règles :
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Refuser de se faire dépister a de grave répercussions sur les personnes qui se font prendre. Si quelqu’un a refusé de se faire dépister et est retrouvé par les autorités, voilà les conséquences :
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