Tell me your story 01. Fils aîné des FitzRoy, fils aîné d’une famille nombreuse, Cyrus a de nombreux petits frères et petites sœurs. Pourtant, il n’est pas du tout proche d’eux. Huit ans le séparent du cadet, presque vingt de la petite dernière, Cyrus n’a jamais ressenti l’envie ni le besoin de s’intéresser aux enfants braillards et inintéressants qui partagent le même nom de famille que lui. A dire vrai, il n’aime tout simplement pas les enfants qu’il juge débiles et inutiles. Son avis, s’il s’est tempéré avec l’âge, reste qu’un enfant n’est intéressant qu’à partir du moment où il peut tenir une conversation intelligible : en dessous de quatorze ou quinze ans, ils n’existent tout simplement pas à ses yeux.
02. Stanislas FitzRoy, duc de Grafton, est un nom connu dans la vente de diamant et l’industrie de luxe. Cyrus a grandi dans un milieu aristocrate, avec une cuillère en argent dans la bouche, et tous ses désirs, caprices et exigences constamment exaucés. C’est un enfant capricieux, un enfant gâté, un enfant-roi auquel on cède systématiquement, que ce soit ses nourrices, ses parents, ses précepteurs et même ses amis. Ce que Cyrus demande, Cyrus obtient, constamment. Encore aujourd’hui, il ne supporte ni la frustration, ni l’attente. Si par la force des choses il a dû apprendre la patience, c’est un homme qui ne supporte que très peu de ne pas avoir immédiatement l’objet de son désir.
03. Mais si ses frères et sœurs n’ont aucun intérêt ou attraits pour lui, ce n’est pas pour autant que Cyrus s’estime fils unique : lorsqu’on lui demande le prénom de ses frères, il répond le plus souvent et sans sourciller : Calixte. L’amitié entre les deux est née au jardin d’enfants, quand ils ne faisaient que commencer à marcher et à courir, elle a grandi et s’est densifiée avec le temps sans jamais s’éteindre. Amitié fusionnelle, amitié légèrement déséquilibrée, les deux sont l’ombre l’un de l’autre, deux doigts de la main indissociable, peut-être trop. A dix ans, Cyrus ne compose son existence qu’autour d’un Calixte dynamique, exubérant, énergique et parfois trop envahissant et écrasant. Même caractère, même façon d’être, les parents FitzRoy commencent à se demander si cette gémellité croissante est naturelle ou façonnée par l’admiration qu’a Cyrus envers Calixte.
04. L’année de ses dix ans, ses parents l’emmènent consulter un psychologue, pour l’aider à se détacher de Calixte. Ils tentent même de séparer les deux enfants, proposant aux Seymour de les mettre dans des classes différentes mais c’est un échec : Calixte s’y oppose férocement, George Seymour en voit aucun problème dans l’amitié des deux enfants. Et Cyrus hurle qu’il est hors de question qu’on brise son petit cœur en piétinant une amitié digne des plus grandes chansons de geste du Moyen- ge : déjà à l’époque, il est porté sur l’exagération et la dramaturgie. Une première fois, les parents FitzRoy font marche arrière, mais essayent de proposer à leur fils des activités que Calixte ne fait pas. Sans succès. Calixte fait de l’équitation : Cyrus réclame un cheval pour son anniversaire. Calixte part en vacances en Espagne ? Cyrus exige qu’ils partent également ou qu’il se fasse inviter par les Seymour – ce qui ne manque jamais d’arriver. Pourtant, si les parents FitzRoy se résignent à laisser faire, Cyrus consulte finalement à partir de ses onze ans un pédopsychiatre. Qui le suit encore aujourd’hui.
05. La petite vie parfaite de Cyrus est bouleversée pour la première fois l’année de ses quinze ans, quand il apprend qu’une de ses sœurs souffre d’une maladie jugée incurable. Elle ne l’intéressait pas, ça non, et il s’avère être très détaché de la perspective d’un futur décès dans sa famille – ce qui pousse ses parents à doubler ses visites chez son psychiatre – mais il se rend surtout compte d’une chose : de la proximité de la mort. Des décès. De la réalité de la chose. Profondément perturbé par tout ça, il accueille avec un soulagement la guérison miraculeuse de la petite Melody, se rapproche imperceptiblement de sa petite sœur et surtout s’éloigne légèrement, très légèrement de Calixte.
06. C’est à cette époque que Cyrus commence à écrire. Il conte, raconte, invente et écrit des histoires de plus en plus denses et complexes à une Melody en rémission, se rapproche de plus en plus d’elle malgré le mécontentement croissant de Calixte qui n’aime pas, lui non plus, voir quelqu’un d’autre accaparer l’attention de son meilleur ami. Petit à petit, l’écriture devient chez Cyrus une véritable passion, un passe-temps qu’il délaisse toujours sitôt que Calixte l’appelle, mais un passe-temps que les parents FitzRoy encouragent toujours un peu plus. Il achève son premier manuscrit à dix-huit ans, son deuxième à vingt-et-un ans, est publié dans la foulée même s’il n’a qu’un regard extrêmement critique sur ce recueil de nouvelles qui lui a fait poser un premier pied dans le monde de l’édition.
07. Avec un meilleur ami fasciné par l’histoire militaire de l’Angleterre et grand admirateur de Lord Nelson, Cyrus n’a pu que s’intéresser lui aussi à tout ceci. Mais si aux yeux de tous, et surtout de Calixte, il est lui aussi grand amateur d’histoire, de livres poussiéreux relatant la bataille d’Aboukir, d’expositions multiples et de reconstitution grandeur nature, la vérité c’est que tout ceci… l’ennuie profondément. Il ne peut pas s’empêcher de vouloir aimer les mêmes choses que Calixte, mais toutes ces histoires guerres et de combat… il n’adhère pas. Cyrus est un profond pacifiste, idéaliste et utopiste. Dans les histoires qu’il écrivait pour Melody et qu’il écrit de plus en plus, il cherche à révolutionner le monde, mais pas de la même manière qu’un Calixte qui veut régner. Non : plus les années passent, plus Cyrus se rend compte qu’il veut exploiter la fortune de sa famille et le pouvoir de son titre pour changer le monde en mieux et surtout en quelque chose de plus pacifique. A seize ans à peine, il avait déjà dans la tête la graine d’un roman novateur, anticipateur et surtout pédagogique. C’est son chef-d’oeuvre qu’il est en train d’écrire depuis quatorze ans maintenant.
08. Alors que ses parents lui laissaient toute liberté dans son choix d’avenir, lorsque George Seymour a brisé les rêves de musicien de Calixte en lui interdisant de poursuivre dans cette voie, en le contraignant à choisir entre la génétique et la finance, Cyrus a délaissé ses propres souhaits pour suivre son meilleur ami à l’université, dans un domaine qui ne les intéressait ni l’un, ni l’autre. S’il n’a jamais regretté son choix, alors même que des études en lettres modernes lui auraient bien plus convenu, Cyrus commence à peine à se rendre compte de l’absence complète de reconnaissance du côté de Calixte, qui avait alors considéré la décision de Cyrus comme allant de soi. C’est avec l’aide de son psychiatre que l’héritier FitzRoy parvient, difficilement, à mettre tout ceci à jour.
09. L’année de leurs vingt-et-un ans, alors que Calixte filait le parfait amour avec Abigael Howard, le décès brutal de celle-ci dans un incendie a entraîné le Seymour dans une descente aux enfers dont Cyrus n’a pu être que le spectateur. Drogue, alcool, il n’a pas réussi à retenir son meilleur ami, s’est rendu profondément malade de ne pas réussir à l’aider, malade de ne plus avoir son attention complète, malade de se sentir mis à l’écart, malade de ne pas parvenir à le soutenir ; au bout de quelques mois, Cyrus a commencé à faire de l’anorexie ; George Seymour, avec sa fermeté et sa rudesse habituelle, a rattrapé de justesse Calixte au bord du gouffre, et pendant quelques mois, les deux amis de toujours ont été tenus à distance, tant par les Seymour que par les FitzRoy, le temps que les dégâts et les plaies de chacun se cicatrisent. L’année de leurs vingt-et-un ans les a séparés réellement pour la première fois, une cicatrice mal soignée et une gêne que Cyrus perçoit toujours aujourd’hui. Ce qu'il ignore, c'est que Calixte a été obligé de tuer sa petite-amie - Abigael Howard - qui ne contrôlait pas sa mutation et menaçait de blesser des dizaines d'enfants. Ce que Cyrus sait, c'est la version officielle : qu'un incendie accidentel a blessé Calixte, tué Abigael.
10. En 2012, quand on révèle au monde l’existence des mutants, Cyrus est fasciné dans un premier temps - lui, grand lecteur de tout et de tous genres, ne peut reconnaître l’un des piliers de la fantasy dans ces hommes et ces femmes aux capacités surnaturelles - puis, au fur et à mesure que les lois et les réglementations se mettent en place, se détache du sujet, se réintéresse plutôt à ce qui fait le fondement de son existence : Calixte, l’écriture et les fêtes. Le dépistage n’est qu’une formalité, le tatouage a été un caprice cédé à Calixte, le DCRM n’a que son scepticisme distant. Dans toute cette affaire de mutation, la seule chose qui intéresse Cyrus, au fond, c’est cette tension latente dans tous les pays du monde. Lui qui ne voit qu’une seule option à l’avenir : la paix mondiale, ne parvient pas à être à l’aise avec toute la géopolitique actuelle. Mais comme Calixte ne semble pas très enclin à prendre parti, et que Cyrus n’ose étrangement pas aborder la question avec lui, tout reste en suspens autour du FitzRoy. Même s’il sait pertinement que la mollesse et le silence de son père, il ne pourra pas les reproduire lorsqu’il deviendra duc de Grafton.
11. Toute la famille de Cyrus est humaine, selon les dépistages, à l’exception de Melody à la santé bien trop fragile : la petite soeur de Cyrus, à l’état stabilisé depuis quinze ans maintenant, reste très faible, surprotégée par les médecins qui la suivent depuis sa naissance et a donc été exemptée, pour le moment, de dépistage, le virus risquant d’être trop agressif pour elle. Les FitzRoy ignorent donc que leur cadette est en réalité une mutante, dont la mutation est la principale responsable de sa maladie, s’attaquant à ses cellules plutôt qu’à tout ce qui l’entoure. Sécrétion de venin, lorsque la vérité apparaîtra et surtout qu’elle commencera à attaquer des êtres humains autres qu’elle même, Cyrus sera bien forcé de sortir de sa réserve quant à la question mutante. |
Liens H. Calixte Seymour : Calixte et Cyrus se connaissent depuis leur plus tendre enfance, ils ont été en classe ensemble tout leur cursus, ils sont unis comme les deux doigts d’une main et ont pratiquement toujours tout fait ensemble, à toutes les étapes de leur vie. Leur première cuite, leur première copine, la première clope, le premier joint, leur première arrestation, leur première voiture, toutes leurs premières fois ont été synchronisées, comme des reflets l’un de l’autre, et ils se sont toujours compris mieux que personne. A dire vrai, sans leurs caractères si semblables par bien des aspects, si différents par bien d’autres, on pourrait les confondre. Mais, et il y a toujours eu un mais, Cyrus a toujours su que Calixte lui cachait des choses. De sa relation réelle avec les Howard et les Percy en passant par l’accident qui a coûté la vie à Abigael Howard, sans compter le silence de George Seymour depuis quelques mois, Cyrus a des preuves concrètes que son meilleur ami ne lui dit pas tout. Et il n’aime pas ça. Ce n’est pas parce qu’on est habitué à quelque chose qu’on s’y fait, et Cyrus en est l’exemple concret. Les deux amis ont toujours tout fait ensemble, mais l’accident d’Abigael a creusé un fossé entre eux. S’ils sont toujours aussi complices en apparence, s’ils se voient toujours aussi souvent, s’ils se soutiennent toujours autant, il y a une distance et une cicatrice mal réparée entre eux. Et ça fait mal, très mal à Cyrus de se sentir mis tous les ans à l’écart, lorsque l’anniversaire d’Abi d’une part (janvier), la date de son décès (juin) d’autre part approchent et que Calixte s’éloigne, se renferme, change du tout au tout. Cyrus veut comprendre. Veut enquêter. Veut fureter ou arracher des aveux à Calixte.
 Pandora A. O’Sullivan : Il ne l’a pour le moment jamais rencontrée, cette fameuse Pandora, mais c’est tout comme. C’est bien simple, depuis mi-janvier elle revient un peu trop souvent dans la conversation, Calixte donne l’impression d’en parler constamment. Pandora par ci, Pandora par là, Cyrus pourrait en rire s’il ne se sentait pas une nouvelle fois mis à l’écart. Et surtout, bon sang surtout, ce n’est qu’une prolétaire, une roturière, une rouquine qui ne correspond en rien au type de femme qui conviendrait à Calixte, c’est évident. Alors même si Cyrus ne la connaît pas, cette pimbêche, il la déteste déjà pour ce qu’elle signifie : des ennuis à venir. Cyrus n’est pas dupe, même si Calixte s’applique à bien insister sur le fait que ce ne soit qu’un plan-cul régulier - de plus en plus régulier d’ailleurs - Cyrus voit bien qu’il commence à y avoir autre chose. On n’invite pas son plan-cul au cinéma, on ne passe pas la voir au boulot, on ne lui envoie pas des SMS à longueur de journée. Pour l’héritier FitzRoy, ce qu’il faut faire est très clair dans son esprit : il faut que ça cesse, et vite. Sauf qu’il est incapable de réellement blesser Calixte, alors Cyrus sait qu’il va devoir agir du côté de Pandora d’une façon ou d’une autre. Sans se mettre le Seymour à dos. Tout un programme.
 Helena Percy : Naturellement, Calixte ayant été très proche d’Helena au sein des veilleurs, Cyrus la connaît depuis bien longtemps. Même milieu, même âge, ils ne peuvent que s’être croisés à de nombreuses reprises mais si Calixte et Helena étaient extrêmement complices jusqu’à leurs vingt-et-un ans, Cyrus n’a jamais vraiment apprécié l’aînée des Percy. Pas assez féminine, trop garçon manqué, pas assez… bien trop proche de Calixte, aussi. La jalousie et la possessivité maladive de Cyrus lui ont toujours refusé de concevoir la moindre amitié avec quelqu’un d’autre que Calixte, ni d’accepter tout ami se révélant trop proche de Calixte. Ce n’est justement que lorsque Calixte et Helena ont cessé de vraiment traîner ensemble et que Cyrus a senti son meilleur ami lui échapper qu’il a commencé à se faire la remarque qu’ils auraient pu former un joli couple. Et maintenant que Calixte commence à ne lui parler que d’une certaine Pandora, Cyrus se dit vraiment que oui, Calixte serait bien mieux avec Helena. Tout est toujours mieux qu’une roturière, soyons honnête. Et puis… Helena n’est plus un danger, aux yeux de Cyrus. Loin de là. Elle serait même une alliée certaine pour comprendre ce qui s’est interposé entre Calixte et lui il y a 9 ans. Alors oui, Cyrus veut clairement s’approcher d’elle, sous les airs d’un homme raisonnable, posé, pour l’utiliser mais bon : il ne voit pas le problème tant qu’il reste gentil, courtois et poli, non ? |
Allégeance et opinionsAllégeance : Cyrus est un homme à deux facettes. Très léger, très volatile et particulièrement libertin - à l’instar de Calixte - ils ont en commun en engagement absolu envers leur famille respective. Cyrus est un homme fidèle, honnête, par bien des aspects extrêmement conservateur et fidèle, ancré dans l’histoire de sa famille et fermement décidé à faire mieux que ses prédécesseurs. S’il semble particulièrement insouciant, il a à coeur de bien faire. Son allégeance va à ses convictions, à ce dont il est intimement convaincu, jusque dans ses tripes. L’aristocratie, les titres de noblesse, la modernisation dont il faut savoir faire preuve, les traditions qu’il faut transmettre, c’est un homme aux idées tranchées sur ces sujets et il sera toujours loyal à son nom, ses amis, ses proches, sa famille… Cyrus est tout particulièrement intègre, il faut bien lui reconnaître ça.
Mutants : Les mutants… honnêtement, Cyrus ne s’en préoccupe pas vraiment. Très détaché, il vit dans sa petite sphère privilégiée, ferme les yeux sur ce qui le dérange en règle générale et surtout ce qui ne vaut pas la peine de s’inquiéter. Les mutants, le Gouvernement semble avoir le problème en main, avec son histoire de tatouage, de dépistage, de DCRM. Tant que Cyrus ne sera pas touché de près ou de loin par le problème mutant, il est fort à parier qu’il ne s’impliquera pas davantage sur la question, se contentant de suivre ceux qui parlent fort, Calixte en l’occurrence.
Traqueurs : Si Cyrus n’a pas d’avis tranché sur les mutants, il en a bien évidemment un, fort simple, sur les traqueurs, ces hommes et ces femmes qui se font pour certains arrêter pour meurtre, pour d’autres qui se font entendre dans les médias, de plus en plus, pour protester contre la liberté des mutants. Cyrus les méprise, ne les voit que comme des hors-la-loi et des criminels pour les premiers, des fauteurs de trouble pour les seconds. Les traqueurs, étant incapable de s’impliquer dans la question mutante, Cyrus ne les comprend pas, ne cherche pas à les comprendre, les met tous dans un même sac et hop, la question ne se pose plus vraiment.
Humains : humain, c’est ce qu’il est et honnêtement, avant 2012, on ne lui avait jamais demandé son avis sur le sujet. Être humain, c’est tout de même mieux que d’être un chien, bien moins intéressant que d’être un Vulcain, et puis c’est tout, n’est-ce pas ? Seulement… Seulement, depuis 2012, il doit avoir un avis sur le sujet, on exige qu’il en est un. Et tout ce qu’il trouve à répondre, en règle général, c’est qu’un humain, c’est une personne qui sait faire preuve d’humanité. Et que de ce point de vue là, oui, il a la chance d’être un humain mais que la proportion de la population à avoir le droit de se revendiquer comme tel est bien moindre que ce que l’on pourrait croire de prime abord.
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Ben Barnes || Me and my friends at the table doing shots
H. Calixte Seymourhumain
qu’est-ce que tu attends boudu ? 
C’est un personnage trèèès important pour Calixte, c’est une certitude. Tout est dit dans le scénar, hein, mais grosso modo, Cyrus et Calixte sotn vraiment très très complices. Cyrus ne s’est jamais très bien entendu avec ses petits frères et soeurs (Melody est une exception, et encore) et Calixte est en gros conflit avec son frère aîné depuis des années: Cyrus et Calixte sont des frères de coeur l’un pour l’autre, un peu à la James Potter et Sirius Black 
avec du côté de Cyrus une possessivité maladive, qui a transformé un peu leur relation en quelque chose de toxique et d’instable 
parce que le fait que Cyrus soit un futur duc, donc du même monde que Calixte, ça, c’est non négociable bien évidemment 
Au niveau de l’histoire, le coeur est à préserver, tout comme les points de caractère, mais tu peux totalement te l’approprier en changeant des détails, en la complétant, en lui rajoutant une passion pour la physique thermonucléaire si l’envie t’en prend ! Sens-toi libre 
Rejoins-nous et tu auras tout le love du monde 